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16 septembre 2015 3 16 /09 /septembre /2015 14:46
~~~~Un socialiste est un chef de meute ou un suiveur, il préconise le collectivisme.
Lorsque j'observe le religieux, le politique - qu'importe la couleur de son drapeau – le chef de meute annonce qu'il a raison, qu'il sait ce qu'il fait et sait comment s'y prendre pour mener ses suiveurs à ce qu’il pense être l’objectif à atteindre, sa victoire.
Il prend son drapeau de ralliement et que tous me suivent, ordonne-t-il : c'est un ordre ! (Regardez notre Président Hollande comme il sait si bien mettre les doigts alignés sur la couture du pantalon, c'est un vrai petit soldat. Il est le chef de tous ceux qui le suivent : lui a raison et personne (en principe) lui conteste son autorité. Si le chef a dit.... donc on fait.
Question : qui sont les suiveurs ? Réponse : les moutons, enfin ceux qui adhèrent à ce qui est décidé par le chef ! 0n retrouve là le principe de la religion catholique, et d’autres organisations politiques. Nous avons une organisation pyramidale à trois étages :
tout en haut, celui qui décide (le Roi , le Pape, enfin tous ceux qui représentent ou symbolisent l’archétype du Père),
puis les cadres (ou les relais organisationnels comme la Franc-maçonnerie et particulièrement le GODF) qui sont dans l’obligation de transmettent le message du « Père » symbolique, et, enfin,
les exécutants qui obéissent ou doigt et à l’œil de leur hiérarchie.
Nous constatons ici le principe repris par les partis politiques, les religieux.. Nous avons donc un management de type vertical, comme sous l'Ancien Régime.
Nous sommes dans un pays démocratique. Régime Politique où la Souveraineté est exercée par le Peuple. Que nous l’acception ou pas, nos démocraties ne nous protègent pas de l’arbitraire, bien au contraire. Sur quels fondements, droit, moral, le Peuple appuie sa raison ? Son Pouvoir ?
• Toute définition objective de la culture d’un Régime Politique est arbitraire donc le régime démocratique l’est. Elle ne peut inférer d’un principe universel et, de ce fait, ne peut être reliée à la nature humaine ou des « choses ».
• La culture démocratique s’appuie sur un pouvoir « arbitraire culturel » qui impose sa vision, sa symbolique.
• Toute catégorie ou Classe Sociale évolue en fonction du rapport de force exercé les uns par rapport aux autres. Cette force peut provenir d’un leader, d’une mode, d’une contrainte guerrière, voire d’une manipulation de masse (média).
• La Classe Sociale est légitimée par l’adhésion de ses éléments, ce qui suppose une prédisposition à accepter sa prédominance sur l’ensemble : on s’allie toujours au gagnant potentiel.
• Toute Classe Sociale dominante fait que chaque constituant contribue à reproduire l’arbitraire culturel qu’elle inculque : c’est l’Action Educative.
• Toute Classe Sociale. dominante qui détient le pouvoir arbitraire se maintient tant que son autorité reste licite, reconnue par tous, surtout par les sous-groupes ou Classe Sociale. dominées, et tant qu’elle se pérennise.
• La reconnaissance de la légitimité de l’arbitraire culturel de la Classe Sociale dominante constitue une force légale qui prospère au détriment de toutes les Classe Sociale dominées interdisant à ces dernières une prise de conscience de leur propre valeur.
• Toute Classe Sociale dominante légitimée impose sa loi et exclut les dissidents (individus ou sous-groupes).
• Notre Démocratie, malgré ses imperfections, autorise ses enfants à jouir d’un important espace de Liberté. Notre système est ouvert même s’il privilégie la classe dominante.
Chacun peut accéder à la Classe Sociale à laquelle il aspire s’il honore les principes démocratiques, c’est à dire, s’il respecte les règles de l’arbitraire culturel et qu’il accepte comme étant bonnes pour lui et la Société.
• Cependant, si l’individu accepte une règle qu’il considère bonne pour lui, le groupe dominant considère la règle comme étant le bien ou le mal par rapport à la ligne qu’il est nécessaire de suivre pour sa propre survie.
N'est-ce pas Gambetta (Franc-Maçon) qui a dit à la Tribune des Députés : "il faut se soumettre ou se démettre ".
- Gambetta adresse ces mots au Président de la République Mac Mahon dans un discours prononcé à Lille le 15 août 1877, lors de la campagne électorale qui conduira à la victoire des Républicains.
C'est la démocratie – le Parti qu’il soit de droite ou de gauche -, qu'il provienne du PS ou du Vatican : le combat reste le même. Chaque individualité choisit son camp et le plus gros l’emporte sur l’autre. Lorsque l'on est encarté dans un Parti on doit obéissance à son Chef qu'importe la couleur du parti.
Ceci-dit peuvent survenir des déviances au sein du groupe. Un sous-groupe voulant alors imposer sa vision au groupe qui l’imposera à tous. C’est le combat politique politicien. Très à la mode sous l’ère du Président Hollande.
Alors que dans humaniste on comprend immédiatement que la racine est humaine, il y a Homme. Un homme est un individu qui doit savoir conduire sa vie. Par contre il faut toujours avoir à l'esprit qu'un homme est d'abord un animal qui agit selon l'orientation du troupeau auquel il appartient. La hiérarchie doit être respectée. Devenir humain est une sacré remise en question : c'est accepter sa condition animal d'abord, se connaître et essayer de s'élever de cette condition.
J'ai pour principe cette règle : Je suis le premier juge de mes pensées, de mes sentiments, de mes actes. Et je suis le premier responsable de leurs conséquences. (Pour moi et pour mon entourage ou mon environnement)
J'accepte ma condition animal, ce corps qui est le mien dicte souvent mes actes à mon insu. Je sais aussi que Prométhée a donné un souffle à cet homo sapien. De ce souffle reçu je sais aussi que je suis responsable de ce don. Ce n'est pas toujours facile et parfois je prends des pâtés...... l'erreur est formatrice et d'un mal j'essaie d'en rechercher le bien sous-jacent.
Quelle différence entre ces deux visions : La première fait appel au collectif et c'est la lutte entre deux idées, deux clans, deux groupes et où l’individu s’estompe, disparait. Et ensuite tous les coups sont permis pour que" mon" camp" ait la victoire. Nous l'avons vu durant la campagne présidentielle et nous assistons actuellement au combat des chefs à l'UMP et aileurs.... même scénario..... où chaque groupe et sous-groupe utilisent des armes (ou arguments différents) dans l'un et l'autre scénarii pour s'adjuger la victoire.
La victoire d’un groupe est la victoire d’un l’individu qui incarne ce groupe.
La seconde fait appel à l'individualité. Tout part de cette individualité qui s’exprime et tout retourne à lui. C’est-à-dire tout part de l’humain et tout lui est retourné d’une manière ou d’une autre. Devant un choix chacun doit en mesurer les conséquences pour lui et aussi pour les autres.....
Depuis de nombreuses années nous arbitrons entre l’individu et le groupe. Parfois l’un gagne contre le groupe, parfois le groupe impose sa raison à l’individu. Très souvent le groupe a raison contre l’individu. C’est un duel, un rapport de force perpétuel.
Existe-t-il alors des situations où l’individu et le groupent joue gagnant-gagnant tout une respectant l’autre ? C’est-à-dire où le duo s’impose ?
Oui dans l’adhocratie. Qu’est-ce que l’adhocratie ? L'adhocratie est un néologisme (provenant du terme latin « ad hoc ») utilisé pour désigner une configuration organisationnelle qui mobilise, dans un contexte d’environnements instables et complexes, des compétences pluridisciplinaires et transversales, pour mener à bien des missions précises (comme la résolution de problèmes, la recherche d'efficience en matière de gestion, le développement d'un nouveau produit, etc.). L’adhocratie a d'abord été formulée par Alvin Toffler dans Le choc du futur (1970) puis a été popularisée par Robert Waterman Jr. dans Adhocracy. The power to change (1990). Où le voyons-nous agir ? Dans les nouvelles organisations. Cela a commencé avec le marketing puis dans la médecine.
Ce sont des individualités affirmées et très spécialisées qui mettent leurs compétences en commun pour résoudre un problème. C’est ce que l’on appelle le management horizontal. Ce concept organisationnel s'oppose à la bureaucratie, au collectivisme, au socialisme.
L'expression « ad hoc » indique en effet que les personnes choisies dans l'organisation travaillent dans le cadre de groupes-projets peu formalisés qui bénéficient d'une autonomie importante par rapport aux procédures et aux relations hiérarchiques normalement en vigueur. Au sein d'une équipe adhocratique, le mécanisme principal de coordination entre les opérateurs est l'ajustement mutuel.
Cette caractéristique fait de l'adhocratique un mode de management souple, souvent comparé au fonctionnement normal de la nature. L'adhocratie comme une organisation qui regroupe des experts de différentes disciplines, réunis afin de conjuguer leurs compétences respectives pour réaliser un projet innovant. C'est donc une structure souple, temporaire et possédant une fin déterminée.
Nous avons eu l’ère de l’économie primaire (que Karl Marx n’a pas prise en compte lors de la 1ère Révolution industrielle). Grace à Engels et Marx nous avons eu l’avènement du Socialisme Communisme en URSS – 69 ans pour s’apercevoir de la nocivité de ce régime, reste la Chine où on trouve le plus grands nombre de milliardaires donc qui est devenu le grand pays capitaliste, et la Corée du Nord.
Petit à petit le communisme s’est changé en socialisme en Europe avec l’opposition des riches face à la force ouvrière avec le PCF en France qui dura durant les 30 Glorieuses – 1945 à 1974 –. A partir de cette date le syndicalisme socialiste français qui regroupait plus de 50% d’adhérents salariés, aujourd’hui, le syndicalisme néo socialiste-communiste ne compte plus que 7.7% des salariés, un des plus bas d’Europe continentale. Pour mémoire, il était supérieur à 30% à mi XX°S.
La spécialisation et la performance des entreprises qui souvent externalise les métiers de l’ère tertiaire pour se consacrer à leur cœur de métier fait naitre au début de XXI Siècle, avec l’avènement de la mondialisation et l’avènement de l’informatique une multitudes de disciplines qui vont se connecter entre elles et donner naissance à l’adhocratie sous forme "de l’économie collaborative".
 Les USA résorbe leur chômmage grace à cette nouvelle donne  - et l’économie américaine est à nouveau la 1ère économie mondiale - et l'Europe commence à voir le jour ce nouveau genre.
La grande différence est que cette forme d’économie va vers un management horizontal et quitte le management vertical. Nous quittons la référence socialiste du travail – management verticale – pour une mise en commun des compétences selon les besoins et en en faisant profiter toutes les parties du monde. Le collectivisme survivra encore dans les Administrations pendant quelques années et l’ère des déclarations via internet va, aussi ici, faire fondre l’idée du collectivisme socialiste.
Il faut noter que certaines de ces entreprises sont devenu leader sur le marché mondial et certaines se trouvent en France.

~~~~~~Un socialiste est un chef de meute ou un suiveur, il préconise le collectivisme. Lorsque j'observe le religieux, le politique - qu'importe la couleur de son drapeau – le chef de meute annonce qu'il a raison, qu'il sait ce qu'il fait et sait comment s'y prendre pour mener ses suiveurs à ce qu’il pense être l’objectif à atteindre, sa victoire. Il prend son drapeau de ralliement et que tous me suivent, ordonne-t-il : c'est un ordre ! (Regardez notre Président Hollande comme il sait si bien mettre les doigts alignés sur la couture du pantalon, c'est un vrai petit soldat. Il est le chef de tous ceux qui le suivent : lui a raison et personne (en principe) lui conteste son autorité. Si le chef a dit.... donc on fait. Question : qui sont les suiveurs ? Réponse : les moutons, enfin ceux qui adhèrent à ce qui est décidé par le chef ! 0n retrouve là le principe de la religion catholique, et d’autres organisations politiques. Nous avons une organisation pyramidale à trois étages : tout en haut, celui qui décide (le Roi , le Pape, enfin tous ceux qui représentent ou symbolisent l’archétype du Père), puis les cadres (ou les relais organisationnels comme la Franc-maçonnerie et particulièrement le GODF) qui sont dans l’obligation de transmettent le message du « Père » symbolique, et, enfin, les exécutants qui obéissent ou doigt et à l’œil de leur hiérarchie. Nous constatons ici le principe repris par les partis politiques, les religieux.. Nous avons donc un management de type vertical, comme sous l'Ancien Régime. Nous sommes dans un pays démocratique. Régime Politique où la Souveraineté est exercée par le Peuple. Que nous l’acception ou pas, nos démocraties ne nous protègent pas de l’arbitraire, bien au contraire. Sur quels fondements, droit, moral, le Peuple appuie sa raison ? Son Pouvoir ? • Toute définition objective de la culture d’un Régime Politique est arbitraire donc le régime démocratique l’est. Elle ne peut inférer d’un principe universel et, de ce fait, ne peut être reliée à la nature humaine ou des « choses ». • La culture démocratique s’appuie sur un pouvoir « arbitraire culturel » qui impose sa vision, sa symbolique. • Toute catégorie ou Classe Sociale évolue en fonction du rapport de force exercé les uns par rapport aux autres. Cette force peut provenir d’un leader, d’une mode, d’une contrainte guerrière, voire d’une manipulation de masse (média). • La Classe Sociale est légitimée par l’adhésion de ses éléments, ce qui suppose une prédisposition à accepter sa prédominance sur l’ensemble : on s’allie toujours au gagnant potentiel. • Toute Classe Sociale dominante fait que chaque constituant contribue à reproduire l’arbitraire culturel qu’elle inculque : c’est l’Action Educative. • Toute Classe Sociale. dominante qui détient le pouvoir arbitraire se maintient tant que son autorité reste licite, reconnue par tous, surtout par les sous-groupes ou Classe Sociale. dominées, et tant qu’elle se pérennise. • La reconnaissance de la légitimité de l’arbitraire culturel de la Classe Sociale dominante constitue une force légale qui prospère au détriment de toutes les Classe Sociale dominées interdisant à ces dernières une prise de conscience de leur propre valeur. • Toute Classe Sociale dominante légitimée impose sa loi et exclut les dissidents (individus ou sous-groupes). • Notre Démocratie, malgré ses imperfections, autorise ses enfants à jouir d’un important espace de Liberté. Notre système est ouvert même s’il privilégie la classe dominante. Chacun peut accéder à la Classe Sociale à laquelle il aspire s’il honore les principes démocratiques, c’est à dire, s’il respecte les règles de l’arbitraire culturel et qu’il accepte comme étant bonnes pour lui et la Société. • Cependant, si l’individu accepte une règle qu’il considère bonne pour lui, le groupe dominant considère la règle comme étant le bien ou le mal par rapport à la ligne qu’il est nécessaire de suivre pour sa propre survie. N'est-ce pas Gambetta (Franc-Maçon) qui a dit à la Tribune des Députés : "il faut se soumettre ou se démettre ". - Gambetta adresse ces mots au Président de la République Mac Mahon dans un discours prononcé à Lille le 15 août 1877, lors de la campagne électorale qui conduira à la victoire des Républicains. C'est la démocratie – le Parti qu’il soit de droite ou de gauche -, qu'il provienne du PS ou du Vatican : le combat reste le même. Chaque individualité choisit son camp et le plus gros l’emporte sur l’autre. Lorsque l'on est encarté dans un Parti on doit obéissance à son Chef qu'importe la couleur du parti. Ceci-dit peuvent survenir des déviances au sein du groupe. Un sous-groupe voulant alors imposer sa vision au groupe qui l’imposera à tous. C’est le combat politique politicien. Très à la mode sous l’ère du Président Hollande. Alors que dans humaniste on comprend immédiatement que la racine est humaine, il y a Homme. Un homme est un individu qui doit savoir conduire sa vie. Par contre il faut toujours avoir à l'esprit qu'un homme est d'abord un animal qui agit selon l'orientation du troupeau auquel il appartient. La hiérarchie doit être respectée. Devenir humain est une sacré remise en question : c'est accepter sa condition animal d'abord, se connaître et essayer de s'élever de cette condition. J'ai pour principe cette règle : Je suis le premier juge de mes pensées, de mes sentiments, de mes actes. Et je suis le premier responsable de leurs conséquences. (Pour moi et pour mon entourage ou mon environnement) J'accepte ma condition animal, ce corps qui est le mien dicte souvent mes actes à mon insu. Je sais aussi que Prométhée a donné un souffle à cet homo sapien. De ce souffle reçu je sais aussi que je suis responsable de ce don. Ce n'est pas toujours facile et parfois je prends des pâtés...... l'erreur est formatrice et d'un mal j'essaie d'en rechercher le bien sous-jacent. Quelle différence entre ces deux visions : La première fait appel au collectif et c'est la lutte entre deux idées, deux clans, deux groupes et où l’individu s’estompe, disparait. Et ensuite tous les coups sont permis pour que" mon" camp" ait la victoire. Nous l'avons vu durant la campagne présidentielle et nous assistons actuellement au combat des chefs à l'UMP et aileurs.... même scénario..... où chaque groupe et sous-groupe utilisent des armes (ou arguments différents) dans l'un et l'autre scénarii pour s'adjuger la victoire. La victoire d’un groupe est la victoire d’un l’individu qui incarne ce groupe. La seconde fait appel à l'individualité. Tout part de cette individualité qui s’exprime et tout retourne à lui. C’est-à-dire tout part de l’humain et tout lui est retourné d’une manière ou d’une autre. Devant un choix chacun doit en mesurer les conséquences pour lui et aussi pour les autres..... Depuis de nombreuses années nous arbitrons entre l’individu et le groupe. Parfois l’un gagne contre le groupe, parfois le groupe impose sa raison à l’individu. Très souvent le groupe a raison contre l’individu. C’est un duel, un rapport de force perpétuel. Existe-t-il alors des situations où l’individu et le groupent joue gagnant-gagnant tout une respectant l’autre ? C’est-à-dire où le duo s’impose ? Oui dans l’adhocratie. Qu’est-ce que l’adhocratie ? L'adhocratie est un néologisme (provenant du terme latin « ad hoc ») utilisé pour désigner une configuration organisationnelle qui mobilise, dans un contexte d’environnements instables et complexes, des compétences pluridisciplinaires et transversales, pour mener à bien des missions précises (comme la résolution de problèmes, la recherche d'efficience en matière de gestion, le développement d'un nouveau produit, etc.). L’adhocratie a d'abord été formulée par Alvin Toffler dans Le choc du futur (1970) puis a été popularisée par Robert Waterman Jr. dans Adhocracy. The power to change (1990). Où le voyons-nous agir ? Dans les nouvelles organisations. Cela a commencé avec le marketing puis dans la médecine. Ce sont des individualités affirmées et très spécialisées qui mettent leurs compétences en commun pour résoudre un problème. C’est ce que l’on appelle le management horizontal. Ce concept organisationnel s'oppose à la bureaucratie, au collectivisme, au socialisme. L'expression « ad hoc » indique en effet que les personnes choisies dans l'organisation travaillent dans le cadre de groupes-projets peu formalisés qui bénéficient d'une autonomie importante par rapport aux procédures et aux relations hiérarchiques normalement en vigueur. Au sein d'une équipe adhocratique, le mécanisme principal de coordination entre les opérateurs est l'ajustement mutuel. Cette caractéristique fait de l'adhocratique un mode de management souple, souvent comparé au fonctionnement normal de la nature. L'adhocratie comme une organisation qui regroupe des experts de différentes disciplines, réunis afin de conjuguer leurs compétences respectives pour réaliser un projet innovant. C'est donc une structure souple, temporaire et possédant une fin déterminée. Nous avons eu l’ère de l’économie primaire (que Karl Marx n’a pas prise en compte lors de la 1ère Révolution industrielle). Grace à Engels et Marx nous avons eu l’avènement du Socialisme Communisme en URSS – 69 ans pour s’apercevoir de la nocivité de ce régime, reste la Chine où on trouve le plus grands nombre de milliardaires donc qui est devenu le grand pays capitaliste, et la Corée du Nord. Petit à petit le communisme s’est changé en socialisme en Europe avec l’opposition des riches face à la force ouvrière avec le PCF en France qui dura durant les 30 Glorieuses – 1945 à 1974 –. A partir de cette date le syndicalisme socialiste français qui regroupait plus de 50% d’adhérents salariés, aujourd’hui, le syndicalisme néo socialiste-communiste ne compte plus que 7.7% des salariés, un des plus bas d’Europe continentale. Pour mémoire, il était supérieur à 30% à mi XX°S. La spécialisation et la performance des entreprises qui souvent externalise les métiers de l’ère tertiaire pour se consacrer à leur cœur de métier fait naitre au début de XXI Siècle, avec l’avènement de la mondialisation et l’avènement de l’informatique une multitudes de disciplines qui vont se connecter entre elles et donner naissance à l’adhocratie sous forme "de l’économie collaborative". Les USA résorbe leur chômmage grace à cette nouvelle donne - et l’économie américaine est à nouveau la 1ère économie mondiale - et l'Europe commence à voir le jour ce nouveau genre. La grande différence est que cette forme d’économie va vers un management horizontal et quitte le management vertical. Nous quittons la référence socialiste du travail – management verticale – pour une mise en commun des compétences selon les besoins et en en faisant profiter toutes les parties du monde. Le collectivisme survivra encore dans les Administrations pendant quelques années et l’ère des déclarations via internet va, aussi ici, faire fondre l’idée du collectivisme socialiste. Il faut noter que certaines de ces entreprises sont devenu leader sur le marché mondial et certaines se trouvent en France.

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